Mais il n'y a pas que des marmottes...
Mais il n'y a pas que des marmottes...
Ce sympathique parc zoologique dans les hautes alpes propose un petit monde fourmillant de marmottes, rapaces, chouettes et loups.
Le saviez-vous, cette adorable petite marmotte est très sociable et vit en petites colonies de type matriarcales, d'origine familiale. C'est maman-marmotte, à la tête du couple reproducteur et de cette petite colonie qui gère la taille de la tribu. Afin que les ressources ne manquent pas, Maman-marmotte fait le point au printemps sur le nombre d'individus ayant résisté à l'hibernation. Si la population devien trop élevée, maman-marmotte résout le problème d'un coup de dent dans la carotide. N'est-elle pas mignonne ?
Les marmottes vivent jusqu'à 18 ans et sont très fidèles. Forcément, puisque si le mâle reproducteur s'aventure à aller flairer une autre femelle... Eh bien, c'est le même coup de dent bien placé ! Ca,c'est fait...
Moralité : méfions-nous des êtres petits et mignons !
Mais ce qui m'interpelle le plus dans cette histoire, c'est que depuis que j'ai raconté ça à mes enfants, ils m'appellent Ma-marmotte... inquiétant, non ?
La place forte de Mont-Dauphin construite par Vauban à partir de 1693 fait partie des 12 sites majeurs Vauban inscrits en 2008 au Patrimoine mondiale de l'Unesco.
Derrière ses remparts en marbre rose, On peut trouver les casernes où vivaient les soldats de Louis XIV, les échauguettes sur l'à-pic où ils veillaient, la poudrière, l'arsenal où ils gardaient armes et poudre.
Du rempart, on observe le nœud stratégique de vallées, les montagnes du Queyras aux mille randonnées, les stations de ski de Vars et Risoul, les glaciers des 4.000m du massif des Ecrins.
...de L'Argentière - La Bessée
Au début des années 80, la redécouverte des mines par quelques passionnés donne naissance à ce vaste projet de valorisation touristique qui permettra à la ville de se tourner définitivement vers le tourisme en 1985 . Des chantiers de fouilles voient le jour durant l’été afin de dégager les galeries, combinés à la poursuite de nombreux travaux scientifiques.
Les investigations scientifiques menées au cours des différents chantiers de fouille conduits depuis une vingtaine d’années ont permi de reconstituer l’histoire de l’exploitation du site qui a ouvert une vingtaine de kilomètres de galeries, dont 14 ont été explorés.
Celle-ci s’est déroulée sur trois périodes :
La période médiévale et les galeries des vieux travaux :
L’exploitation qui eut lieu entre les XIIe et XIIIe siècles a permis l’extraction d’environ 12 000 tonnes de minerai. Une trentaine de points d’extraction ont été retrouvés s’échelonnant sur 1 km et 350 mètres de dénivelé.
L’attaque se faisait au feu, un réseau de galeries supérieures noircies par la suie assurait alors l’aération.
Un château élevé à l’entrée du vallon permettait de contrôler l’extraction du précieux minerai.
La reprise du XVIIIe :
De courte durée, elle a surtout consisté à élargir le réseau existant sans vraiment ouvrir de nouvelles galeries.
L’exploitation du XIXe siècle :
La première demande de concession a été déposée en 1836, de nombreuses reprises eurent lieu ensuite jusqu’à l’abandon des mines au début du XXe siècle.
L’attaque se faisait alors à l’explosif. Le traitement du minerai se faisait à la fois à l’intérieur des galeries, mais aussi dans les bâtiments situés à l’extérieur.
Pour mon anniversaire, je m'offre :
La mer !
Il va falloir que je me débrouille pour aller respirer un peu d'air iodé, parceque ça aussi, c'est irremplaçable !
D'un côté, la France :
De l'autre, l'Italie :